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Profitez de cette première journée pour vous remettre du long voyage. Arpentez les rues agitées de la capitale et imprégnez-vous de l'atmosphère de la ville. N'hésitez pas à sortir du quartier de Thamel pour échapper aux rabatteurs et laissez-vous happer par le spectacle de la vie quotidienne.

Au petit matin, à l’heure où les magasins n’ont pas encore levé leur rideau de fer (vers 7h30), regagnez Dubar Square. Au pied des temples qui ont fait de Katmandou un royaume éblouissant, vous assisterez au déballage du marché. Bientôt, la ville tout entière sera éveillée. Poursuivez la visite en direction de Swayambhunath (2 km à l’ouest). C’est en haut d’une longue série de marches que les fidèles se pressent chaque jour autour du plus ancien stupa de la vallée.

Rendez-vous à Patan pour y consacrer la journée. Le musée situé dans l’enceinte du Palais Royal est sans aucun doute l’un des plus beaux du pays et constitue une visite incontournable. Explorez les rues de l’ancienne cité-royaume pour y découvrir la multitude de temples bouddhistes, construits à l’abri des regards dans de petites cours dérobées. Retour à Katmandou le soir venu.

Dans ce pays où hindouistes et bouddhistes se retrouvent aux mêmes temples, il existe plusieurs lieux sacrés incontournables. Bodnath et Pashupatinath font partie de ceux-là. Seulement vingt minutes à pied séparent les deux sanctuaires et offrent l’occasion d’une agréable balade.

Il est temps de fuir la ville. Si la météo le permet, c’est à l’aube qu’il faut se rendre à Nagarkot ou Dhulikhel pour admirer un panorama sur les sommets de l’Himalaya : Langtang Lirung (7 246 m), Dorje Lakpa (6 966 m) ou encore Gauri Shankar (7 145 m). Nuit le soir à Bhaktapur.

Laissez-vous subjuguer par Bhaktapur, le plus beau des trois anciens royaumes médiévaux. « La cité des dévots » dévoile ses trésors à chaque coin de rue et ensorcelle les visiteurs : fenêtre-paon, imposantes sculptures en pierre ou gardiens des temples-pagodes.

Retour à Katmandou et derniers achats avant de reprendre l'avion (les vols internationaux partent souvent le soir).

Le centre de sculpture romane de Cabestany

Au XII^e siècle, un sculpteur anonyme au style singulier laisse des œuvres uniques dans les Pyrénées-Orientales et dans tout l’arc latin : le Maître de Cabestany. On sait peu de choses sur lui sinon qu'il se distingua par un style d'une grande originalité. Il se caractérise par son atypisme et sa « modernité ». Le Centre de sculpture romane situé à 10 km au sud-est de Perpignan propose un voyage fascinant dans l'univers de cet artiste. Les œuvres présentées sont des moulages mis en scène dans un espace ultra contemporain grâce à de savants jeux de lumière.

Le cloître et la cathédrale d'Elne

Continuer vers le sud pour gagner Elne. Bâtie au XI^e siècle, c'est une basilique sans transept, à trois nefs. Sa façade crénelée est dominée par un clocher carré et par une tour de brique. On y pénètre par un élégant portail de marbre, à l'intérieur, une nef voûtée en plein cintre avec arcs doubleaux. Le cloître est considéré comme l'un des plus beaux d'Europe, c'est un riche témoin de la sculpture médiévale roussillonnaise. Construit entre les XII^e et XIV^e siècles, tout de marbre blanc veiné de bleu, il vous fait traverser deux époques, deux styles : le roman et le gothique.

Le Prieuré Santa Maria del Vilar

Détour dans les Albères à Villelongue-dels-Monts à 20 min de voiture au sud-ouest d’Elne pour découvrir ce petit bijou. Cet édifice construit entre les IX^e et le  XII^e siècle est considéré comme un des plus purs joyaux de l’art roman catalan. Les fresques qui couvrent l'abside sont surprenantes et le nymphaeum romain découvert en 1998 vient étayer les preuves d'une spiritualité continue de ces lieux. Depuis 2005, une communauté monacale orthodoxe roumaine habite le prieuré.

Le Prieuré de Serrabone

De Perpignan, on gagne Serrabone en 45 min de route vers l’ouest (direction Prades). Au cœur d'une forêt de chênes verts, perchée sur un éperon rocheux qui domine le massif des Aspres, on découvre cette petite église si célèbre. La richesse de l’intérieur du prieuré est éblouissante. Les chapiteaux et les sculptures romanes en marbre rose de Villefranche-de-Conflent illustrent l’art religieux roussillonnais des X^e et XII^e siècles. Particulièrement remarquable, la tribune est considérée comme le plus bel exemple d'un travail de sculpture pour l'époque romane en Pays Catalan. Les environs de Serrabona sont aussi un lieu magique pour faire de belles balades au cœur des Aspres sauvages : forêts, prairies, petits ruisseaux…

L'abbaye Saint-Michel de Cuxa

Redescendre et poursuivre vers Prades et à la sortie de la ville, suivre le fléchage. L’abbaye qui fut édifiée au cours de trois périodes entre le X^e et le XII^e siècle comprend une vaste église pré-romane, un clocher roman percé de baies géminées, une crypte, un cloître et une tribune en marbre rose, splendides manifestations de la sculpture romane roussillonnaise. L’abbaye se développa rapidement et connut un vaste essor jusqu’au milieu du Moyen Âge. L’abbaye est aujourd’hui occupée par une communauté de bénédictins qui y entretiennent la vie monastique initiée il y a onze siècles.

L'abbaye Saint-Martin du Canigou

Poursuivre par Taurinya et gagner Vernet-les-Bains. L’abbaye apparaît au visiteur comme un nid d’aigle posé sur un éperon rocheux dominant un ravin au fond duquel gronde le Cady. Plus que ses sœurs Saint-Michel de Cuxa ou le prieuré de Serrabone, Saint-Martin fascine autant par son architecture que pour son site grandiose et « vertigineux ». Culminant à 1 098 mètres d’altitude, il se présente sous la forme de deux églises superposées et jouxtées d’un cloître. On accède au site en moins de 45 min à pied depuis Casteil par un très beau chemin qui grimpe vers le ciel.

Selon le temps dont vous disposez, la ville mérite bien un ou deux jours de visite. Ses grandes avenues bordées d'arbres, sa baie et son front de mer, ses bâtiments coloniaux en font l'une des plus belles capitales du continent noir. Très métissée, influencée par les telenovelas (séries télévisées) brésiliennes, dynamique, chaleureuse, on se croirait parfois du côté de Rio. Une balade dans la ville basse, une autre dans la ville haute, sans manquer le village des pêcheurs de la Costa do Sol, rempliront déjà bien vos journées. En soirée, faites un tour dans la rue Bagamoyo, réputée pour être un haut lieu de la vie nocturne.

Prévoir 5h30 de route en longeant la côte. Après l’étape de Tofo, petit village de pêcheur où il fait bon flâner, vous arriverez sur l’une des plus belles plages de sable blanc de la côte : Barra. Si vous êtes en famille ou en groupe, misez sur Barra. Les jeunes préféreront Tofo et Tofinho (la petite plage de Tofo).

Plongée, apnée, snorkeling, pêche, kayak, catamaran, excursions à pied ou à cheval, beach-volley, quad... A Barra, vous pourrez tout faire. Les lodges et resorts proposent eux-mêmes tout un tas d’activités.

Deuxième journée sur la plage de Barra. 

De Barra, il faut environ 6 heures de route pour rejoindre Vilanculos, village de pêcheurs, rythmé par les marées et le soleil. La pêche aux crustacés est une des activités favorites des habitants qui se ruent sur les plages dès que la mer se retire. Vilanculos, en toute logique, est réputée pour ses crabes, ses crevettes géantes et ses langoustes. Ne manquez pas non plus les odeurs, les couleurs et l’animation du marché. Un régal. Vilanculos, c'est aussi une baie immense, sauvage et impressionnante, bordée de cocotiers et de filaos… Avec au large l’archipel de Bazaruto qui appelle au rêve. 

L’archipel, situé en face de Vilanculos, est classé réserve naturelle depuis 1971. C’est un domaine peuplé d’oiseaux (environ 120 espèces se disputent les terres). D'un côté, la baie avec ses eaux cristallines et peu profondes ; de l’autre, l’océan agité. Une barrière de corail protège un lagon, idéal pour plonger et observer toutes sortes de poissons multicolores. Question hébergement, il y en a pour tous les goûts, mais que du luxe en perspective pour portefeuilles bien garnis. Des excursions d’une journée sont heureusement possibles depuis Vilanculos.

Compter une journée de route. N’hésitez pas à partir au lever du jour pour arriver en début d’après-midi. A l’extérieur du parc, à 15 km, le Girassol Hôtel propose des bungalows à 140 dollars et des tentes à 12 dollars. Le Gorongosa Adventures est aussi une bonne adresse pour les petits budgets.

Deux safaris de trois heures sont possibles : l’un le matin (départ à 6h), l’autre l’après-midi (départ entre 14h et 15h). On vous recommande celui du matin, qui permet de voir un maximum d’animaux. Un chauffeur-guide vous accompagnera dans l’un des véhicules du parc. Très bonnes explications (faune et flore) en anglais ou en portugais. Minimum 2 personnes. Interdit aux enfants de moins de 10 ans ; pour ces derniers, des game drives sont proposés avec voiture fermée.

Le Parc national de Gorongosa se trouve à 200 km de Beira (3 heures de route environ). Si vous avez loué un véhicule au départ à Maputo, vous pouvez envisager de le rendre à Beira et, de là, prendre un vol intérieur.

Visitez le centre historique de La Laguna, et faites une pause gourmande dans l'une des nombreuses bodegas dans les jolies rues piétonnes, puis prenez la route des vins en direction de Tacoronte. Poussez jusqu'au pittoresque village de Taganana à la pointe nord, pour profiter de votre premier bain de soleil au pied des falaises de la playa de São Bento, sur une magnifique plage de sable noir volcanique étincelant sous le soleil. Prenez un verre au sommet pour apprécier la vue. Pour le trajet retour, passez au cœur du massif de l'Anaga, succombez à la douce fraîcheur de la pinède et des vues spectaculaires qu'offre la route des crêtes en direction de Santa Cruz. Une fois arrivé dans la capitale, osez vous offrir une bonne table dans cette ville peu touristique, pour vous familiariser avec le meilleur de la gastronomie canarienne.

Partez à la découverte du Teide. Commencez par visiter le pittoresque village de La Orotava, puis prenez la route qui part du village et monte jusqu'à l'entrée du parc El Portillo. En chemin, arrêtez-vous dans l'un des nombreux restaurants panoramiques qui bordent la route. Peu chers et très typiques, ils offrent une vue sur la vallée à ne pas manquer. La montée est jalonnée de miradors et de particularités rocheuses, vous passez au milieu de la pinède avant d'atteindre le sommet, plus pelé. La route en direction du téléphérique passe par des paysages lunaires. Puis optez pour la balade de 2 heures à Roque de Garcia qui fait une boucle. Empruntez ensuite la route de Santiago pour redescendre, un peu avant le coucher du soleil pour admirer les îles de La Palma, El Hierro et La Gomera par-delà une mer de nuages, puis vous passerez dans votre premier champ de lave, celui qui a failli engloutir le village en contrebas. Cap sur la route côtière jusqu'à Puerto de la Cruz ! Vous dînerez dans une ruelle typique et colorée du Muelle, et prenez un verre sur la plaza del Charco.

Explorez le centre de Puerto de la Cruz, le vieux port et son quartier de pêcheurs, et hop, à vous le bain dans les Piscinas del Lago Martiánez – cette oasis d'eau et de végétations tropicales conçue par le génial artiste canarien César Manrique. Mangez sur place dans un restaurant près du muelle. Prenez la route côtière en direction d'Icod de los Vinos pour aller admirer le magnifique dragonnier millénaire visible depuis la place du village. Poursuivez votre route direction Garachico, un autre village qui mérite une petite balade dans le centre historique piéton. Empruntez ensuite la typique route du massif du Teno, en passant par Buenaventura, et poussez jusqu'au phare du Teno, à la pointe ouest de l'île. Faites une courte randonnée dans la forêt, et dormez dans une maison rurale typique du coin.

Rendez-vous à Los Gigantes assez tôt dans la matinée. Achetez un ticket combiné comprenant le transport jusqu'à Masca et le retour en bateau. Ce circuit très organisé vous mène dans un village pittoresque accroché à une falaise. Faites ensuite la randonnée du Barranco de Masca (3 heures) qui mène à la crique où viendra vous chercher le bateau. La randonnée est spectaculaire, au creux des gorges du Barranco jusqu'à la mer et vous pique-niquerez dans la crique. Au retour, le bateau longera les vertigineuses et massives falaises qui bordent la côte et vous emmènera au large pour observer les baleines et dauphins qui vivent entre Tenerife et La Gomera. Pour vous détendre, allez faire bronzette sur l'une des plages de la côte sud et dînez sur place.

Empruntez cette fois la route sud passant par Vilaflor pour monter à l'assaut du Teide. La route est là encore spectaculaire. Prévoyez d'arriver tôt au pied du téléphérique (avant 10 heures) pour grimper au sommet de l'île soit 3 000 mètres ! Réservez votre place en ligne pour accéder aux derniers 200 mètres du cône volcanique. Admirez la vue panoramique et enchanteresse ! Si vous êtes un randonneur chevronné, redescendez par le Pico Viejo (6h), cette randonnée est probablement la plus belle et la plus spectaculaire du parc. Les moins aventureux pourront passer par l'autre côté par Montaña Blanca. En fin de journée, direction la route de La Esperanza ! Puis filez au port de Santa Cruz pour prendre un bateau direction le petit port de pêche d'Agaete, juste en face à Gran Canaria. Dormez sur place.

Après la grande randonnée de la veille, reposez-vous sur la belle plage de sable blanc de Maspalomas, avec la mer de dunes en toile de fond. L'après-midi ne manquez pas la visite de la superbe ville de Las Palmas, sans rater la Casa de Colón ainsi que les autres musées d'exception du centre historique de Vegueta et Triana, notamment le Musée Canario pour son exposition sur les Guanches, ce peuple primitif préhispanique. Profitez-en pour acheter vos souvenirs. Offrez-vous une bonne table pour cette dernière soirée, puis allez boire un verre dans un bar animé de San Telmo.

Pour votre dernier jour, repartez vers le sommet, la tête dans les nuages, ou au-dessus ! Depuis Las Palmas, passez par le typique village de Teror, puis montez par Vega de San Mateo pour atteindre la route circulaire tracée au sommet de l'île. Ne manquez pas le sommet de l'île, le Pozo de Las Nieves, et la petite randonnée (45 minutes) qui mène au pied du Roque Nublo, un gigantesque monolithe. De là, laissez-vous porter par la vue majestueuse sur une grande partie de l'île et le pic de Teide, sur Tenerife juste en face. Allez manger à Tejeda. Faites un crochet par le village troglodyte d'Artenara avant de redescendre par le superbe village de San Bartolomé. La route se sépare ensuite pour mener à Santa Lucia ou Fataga. Quel que soit votre choix (nous vous conseillons Fataga), la route sera incroyablement vertigineuse. Pour votre dernier moment sur l'île, profitez des derniers rayons de soleil sur la plage de Maspalomas très proche de la route que vous venez de descendre. Faites un dernier plongeon dans l'océan avant de dîner en terrasse.

San Pedro Sula. La capitale économique n'est pas la plus charmante des villes. Cependant elle est plus proche des endroits touristiques (les ruines de Copan, les Caraïbes, lac de Yojoa...) que ne l'est la capitale politique, Tegucigalpa. Il y a aussi beaucoup plus de choix de compagnies aériennes et de liaisons à l'international depuis l'aéroport de San Pedro Sula. Mais à peine arrivé, pas de temps mort, faites route vers Copán Ruinas.

Copán Ruinas. À proximité du village se trouve le plus grand site archéologique maya du Honduras (et certainement un des plus remarquables d'Amérique Centrale). Impressionnantes et magiques, ces ruines classées au patrimoine mondial de l'UNESCO, vous en mettront plein les yeux. Optez pour les services d'un guide local pour plonger véritablement dans le riche passé de ces lieux envoûtants.

Tela. Prendre un bus pour Tela, sur la côte Atlantique (le bus repassera nécessairement par San Pedro Sula). S'y reposer pour la soirée. Allez flâner le long de la plage sur le Malecon. Si vous avez le temps, demandez à aller visiter et cuisiner dans un village à la culture garifuna (issue du métissage entre des esclaves africains évadés et les autochtones).

Tela. Si les effets du décalage horaire sont encore persistants, optez pour une deuxième journée de repos : farniente sur une des magnifiques plages aux alentours de Tela. Les amoureux de nature pourront opter pour une excursion en bateau au petit matin au milieu des mangroves de la réserve naturelle de Punta Sal, et/ou pour une promenade dans le jardin botanique de Lancetilla.

La Ceiba. A 2h de bus de Tela, continuez vers l'est jusqu'à La Ceiba. Partez en excursion dans le parc national de Pico Bonito pour faire une belle randonnée en pleine nature : observations d'oiseaux (dont des toucans), de singes, etc. Pour les plus aventuriers, laissez-vous tenter par une descente en rafting sur la rivière bordant le parc: le Río Cangrejal. Nous vous suggérons d'ailleurs de séjourner dans un des lodges au bord de la rivière (plutôt qu'à La Ceiba).

Islas de la Bahia. Depuis La Ceiba, embarquez sur un ferry pour vous rendre dans une des îles de la Baie. La plongée-bouteille y est vraiment peu chère et les sites valent le coup d'œil : il faut en profiter! Pour les voyageurs sac au dos au petit budget et cherchant une ambiance plus festive, optez pour Utila. Pour les couples ou familles souhaitant une atmosphère plus calme, nous vous suggérons Roatán.

Islas de la Bahia. Roatan, Utila, qui aura donc remporté votre cœur? Profitez de l'ambiance détendue, des magnifiques fonds marins et plages paradisiaques de votre île.

Islas de la Bahia. Continuez sur Utila ou Roatan, ou bien partez en excursion sur les toutes petites îles de Cayos Cochinos. Il est d'ailleurs possible d'y vivre une expérience de tourisme communautaire. 

La Ceiba. Que le temps passe vite! Le retour risque d'être un peu brutal... Reprenez un ferry pour La Ceiba, continuez ensuite en bus jusqu'à San Pedro Sula où vous attend votre vol retour.

Częstochowa est le premier lieu de pèlerinage en Pologne avec son icône miraculeuse de la Vierge noire.

Cracovie compte de nombreuses églises ainsi que le sanctuaire de la miséricorde divine.

Des lieux symboliques de dévotion indiquent le chemin de croix et calvaire de la Vierge Marie et de Jésus-Christ. Découvrez Wadowice, ville natale du pape Jean-Paul II. Nous vous recommandons de prendre un train spécial, le « Train de pape », qui part au moins deux fois par jour de la gare ferroviaire de Cracovie (Kraków
Główny) via Kraków-Łagiewniki et Kalwaria Zebrzydowska vers Wadowice. Une belle excursion au prix de 18 zl (aller-retour). Mais, attention, en été il y a beaucoup de monde ! Plus d’informations sur le site www.pociagpapieski.pl.

Licheń, dans les environs de Konin en Grande-Pologne, est le deuxième haut lieu de pèlerinage, suite à une apparition de la Vierge.

Vous pourrez voir à Licheń le 12^e plus grand sanctuaire mondial de la Sainte Vierge et sûrement le plus grand en Pologne.

Les lieux de culte sont nombreux à Varsovie, notamment l’église Saint-Stanislas Kostka, où se trouve le tombeau du prêtre Popieluszko, martyr assassiné par la police à l’époque communiste car trop proche du syndicat Solidarność.

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A peine arrivé à Auckland, pas de temps mort, faire route vers le Northland. Direction plein nord par la côte est, en suivant la Twin Coast Discovery Highway. Le premier arrêt s’effectue à Bay of Islands pour profiter du superbe décor composé par ce chapelet d’îles. Haut lieu touristique célèbre pour ses eaux protégées et poissonneuses, c’est aussi le berceau de la nation. C’est à Waitangi que fut signé le traité liant le peuple māori et la Couronne d’Angleterre.

Le lendemain, continuer vers le nord jusqu’au Cape Reinga. Au bout du monde, le Cape Reinga est un lieu sacré pour les Māori ; c’est aussi le point de rencontre entre les eaux tumultueuses de l’océan Pacifique et de la mer de Tasman.

En redescendant vers le sud, passer par Ninety Mile Beach et arpenter ses kilomètres de sable en 4x4 ou à pied. Si le cœur vous en dit, c’est le moment de vous essayer au surf à Ahipara avant de poursuivre le voyage en longeant la côte ouest. Après avoir traversé Hokianga Harbour par le ferry entre Kohukohu et Rawene, pénétrer dans la Waipoua Forest qui abrite les majestueux kauris géants. Saluer le gardien des lieux, Tāne Mahuta, « Dieu de la forêt », le plus grand kauri au monde.

Cap à l’est vers la péninsule de Coromandel. Au programme : visite des falaises de Cathedral Cove, immersion dans une piscine naturelle d’eau chaude à Hot Water Beach et découverte du sublime panorama sur la péninsule depuis le sommet des Pinnacles. S’accorder une nuit à Opoutere.

Redescente tranquille le long de la péninsule en direction du sud. Savourez les paysages.

La route se poursuit sur les superbes plages de Bay of Plenty. Tauranga et Mont Maunganui offrent d’excellents spots de surf et la pêche y est abondante. Attraper un coup de soleil ou faire une belle prise ?

Compter 3 à 4 heures de route pour regagner Auckland, flâner quelques heures dans ses rues à la recherche des derniers cadeaux et monter en haut des 192 m de la Sky Tower pour admirer une dernière fois le paysage depuis la terrasse d’observation.

Flânez avec les Tbilissiens sur l'artère vivante de la ville, l’avenue Roustavéli. Explorez les quartiers adjacents et faites un détour au mont Mtatsminda et son panthéon géorgien. Goûtez aux traditions culinaires géorgiennes, allez déguster des khinkalis et boire du vin dans quelque doukani (taverne traditionnelle).

Visitez la très orientale vieille ville, où le temps semble s’être arrêté ; c’est un véritable dédale de ruelles où architectures autochtone, russe et persane se mêlent curieusement. Visitez ses églises, géorgiennes et arméniennes, sa mosquée, sa synagogue, sa forteresse et son jardin botanique, ses balcons ornés. Ne manquez pas les magnifiques bains de sulfure qui ont émerveillé Pouchkine et Alexandre Dumas, où des masseurs azéris s’occuperont bien de vous.

Franchissez le pont et allez visiter la rive gauche de la Koura ; découvrez le quartier populaire d’architecture impériale de l’avenue Aghmachenebeli, avec ses belles façades XIX^e ; puis le bazar de la gare, Bazroba, véritable ville dans la ville, où la vie à l’orientale a resurgi à la fin de l’ère soviétique. Retraversez le fleuve pour vous promener dans les quartiers de prestige soviétiques, Véra et Vaké, les plus prisés des Tbilissiens. Adossé à la colline, Vaké laisse place à la forêt, où se trouve le musée ethnographique dans lequel sont reconstitués les habitats traditionnels des différentes régions de Géorgie. Montez jusqu’au lac des Tortues, lieu de détente des habitants, qui donne un avant-goût des montagnes.

Quittez la métropole pour prendre un avant-goût des paysages géorgiens, à Mtskhéta : petite ville à 15 km de Tbilissi, ancienne capitale géorgienne, c’est le véritable centre spirituel du pays. Dans un spectaculaire rétrécissement de vallée, le monastère de la croix (Djvari), à l’extrémité de la chaîne du Grand Caucase, surplombe la ville. C’est d’ici que sainte Nino aurait converti la famille royale au christianisme et planté la première croix en Géorgie : une croix de vigne. En bas, la cathédrale de Svétitskhovéli est le joyau de l’architecture géorgienne, avec ses bas-reliefs, ses fresques et ses icônes. C’est ici le cœur religieux du pays. Si vous avez le temps, vous irez jusqu’au monastère de Chiomrvimé. A Mtskhéta, n’oubliez pas de manger du lobio, soupe épicée aux haricots rouges, qui serait la meilleure du pays.

Faites une excursion à Gori, ville de naissance de Staline, où, de son vivant, un musée a été érigé en son honneur, resté quasi inchangé depuis. Témoignage de l’idéologie soviétique, ce musée est une expérience unique, brute et sans commentaires. Depuis Gori, ville agréable, même si les tensions de la guerre de 2008 peuvent encore se ressentir, qui possède une remarquable forteresse, vous pouvez facilement vous rendre à Ouplistsikhé, ville troglodytique du premier millénaire av. J.-C., qui surplombe la Koura dans un paysage quasi lunaire aux falaises arides et cabossées. Ce site impressionnant contient dans des grottes des lieux de cultes païens, des salles royales, le plus ancien théâtre de Géorgie et une ravissante chapelle du XI^e siècle. Si l'on veut en découvrir plus, à quelques kilomètres, la vallée d'Ateni mène à l'église de Sion, nichée dans un site splendide.

Faites un pas de plus dans l’aventure troglodytique : allez vous perdre dans les monastères du semi-désert de David Garedja. Paysage centre asiatique à la frontière de l’Azerbaïdjan, fresques médiévales en grotte au milieu de la steppe, complexes architecturaux étonnants, bergers à cheval : vous aurez l’impression d’être au bout du monde. Et vous serez au point le plus oriental du monde chrétien. Pour y aller, vous passerez par la ville soviétique Roustavi, surgie au milieu de nulle part, et son impressionnante avenue centrale stalinienne.

Prenez la Route militaire de Géorgie, seule percée naturelle à travers le Grand Caucase, qui a souvent été infranchissable. Les Arabes s’y sont engagés au VII^e siècle, les Russes sont arrivés par ici au XIX^e. Vous vous enfoncerez dans les montagnes, découvrirez la beauté du lac de Jinvali, puis celle du site ecclésiastique fortifié d’Ananouri. Franchissant le col de la Croix, vous arriverez après une demi-journée à Stepantsminda (Kazbégui), sur le Terek, à la frontière avec la Russie, au pied du mont Kazbek, troisième sommet du Caucase où Prométhée fut, paraît-il, enchaîné. Randonnez jusqu’à la chapelle de la Sainte-Trinité (Tsminda Sameba) dont la silhouette est devenue emblématique du Caucase. Mangez des khinkalis à Stepantsminda, où ils sont censés être les meilleurs, goûtez au pittoresque des traditions montagnardes en logeant chez l'habitant.

Avant de redescendre, offrez-vous une incursion dans la sauvage vallée de Sno, qui mène vers l’isolée Khévsourétie, aux mythiques traditions ancestrales. Le village fortifié de Sno vaut la peine, vous pourrez bien avoir l’impression de reculer d’un siècle.

Profitez encore de Tbilissi et de sa vie animée. Allez voir la monumentale nouvelle cathédrale de la Trinité (Sameba), construite en 2004 et financée par un businessman millionnaire, au beau milieu d’Avlabari, le quartier traditionnellement arménien. Vous pourrez aussi visiter Sabourtalo, quartier moderne des universités et hôpitaux. Vous pouvez passer une soirée à l'opéra, au conservatoire, dans un restaurant à musique, ou, si vous avez de la chance, voir jouer un ensemble de danse et musique folkloriques. Si vous avez de l’énergie pour d’autres aventures, faites une excursion en Kakhétie, le berceau du vin géorgien.

Allez à Sighnaghi, petite ville magnifiquement située au pied des cimes du Daguestan. Admirez la culture de la vigne et les traditions locales ; puis allez à Telavi, capitale régionale, où se trouve le séduisant palais du roi Irakli II, palais persan miniature. Enfin, rendez-vous à la cathédrale d’Alaverdi, la plus haute des églises historiques géorgiennes, seule au milieu de la plaine face aux montagnes. Vous pouvez faire cette excursion en deux jours, en dormant à Telavi, et ainsi visiter les nombreuses autres perles d’architecture de la Kakhétie, l’académie d’Ikalto, les monastères de Chouamta, les églises de Grémi et de Gourdjaani… Et plongez au cœur du vin géorgien en visitant une cave ou en assistant à la fabrication chez l’habitant.

Farniente sur la plage et dîner sur les bords de la lagune de Nichupté. Sortie dans la plus incroyable des boîtes de nuit de Cancún, le Coco Bongo, pour les voyageurs qui ont encore des forces.

Départ pour Playa del Carmen. Excursion de plongée ou de snorkeling sur l’île de Cozumel dans l’après-midi. Nuit à Playa del Carmen.

Visite des ruines et détente sur la plage. Nuit romantique et tranquille dans un des hôtels de bord de plage.

Visite du Gran Cenote et des ruines de Cobá. Nuit à Valladolid.

Dans l’après midi, visite de Mérida et balade en calèche sur le Paseo de Montejo. Deuxième nuit à Mérida.

Celestún, et ses colonies de flamants roses. Dernière nuit à Mérida.

Retour à Cancún. Départ pour Paris.

Vous arrivez à l'aéroport du Lamentin. Vous êtes peut-être épuisé par le voyage et vous n'avez qu'une idée en tête : filer vers votre lieu de villégiature. Une bonne douche, un ti-punch de bienvenue et au lit !

Réveil au lever du soleil vers 6h. Après une nuit de sommeil, vous êtes en pleine forme : vous goûtez déjà au plaisir du bien-être tropical. Le ciel est bleu avec une forte luminosité. Nous vous suggérons de profiter de l'hôtel (farniente, piscine, plage) et de prendre vos repères afin d'organiser votre semaine.

Vous commencez à vous accoutumer au décalage horaire. Profitez-en pour partir de bon matin à la découverte de la côte Ouest dite « sous le vent ». Remontez la côte Sud Caraïbe, arrêtez-vous au bourg des Anses d'Arlet pour le petit déjeuner. Puis direction Fort-de-France pour le shopping et le marché. Faites ensuite route vers le nord pour remonter jusqu'au Prêcheur. Visite du jardin botanique de Balata et déjeunez sur la plage du Carbet. Dans l'après-midi, marquez un arrêt à Saint-Pierre, puis repartez en bifurquant par la route de Morne-Rouge via la forêt tropicale de la Trace, qui descend vers Fort-de-France. Tout simplement grandiose.

Journée day charter, ce qui signifie balade en mer à bord d'un bateau, souvent des « maxi-catamarans ». Départs proposés depuis Les Trois-Îlets, Le Marin ou Sainte-Anne. Le circuit le plus classique est la côte Sud Caraïbe et pour les amoureux de la mer, la journée à Sainte-Lucie (île anglophone située au sud). Départ vers 9h et retour au coucher du soleil. Déjeuner à bord, arrêts baignade avec possibilité de snorkeling.

Si vous n'êtes pas trop épuisé, vous pouvez consacrer cette journée à des activités sportives : plongée sous-marine (1/2 journée), balade en scooter des mers (1/2 journée) ou en canoë-kayak du côté du Robert, du François, des Trois-Îlets ou de Cap-Chevalier, mais aussi planche à voile à Cap-Chevalier, survol touristique en avion ou en îlets, canyoning... Les possibilités sont larges.

Dédier une journée à la culture locale n'est pas de trop. Vous pourrez pour ce faire entreprendre la visite d'une des célèbres distilleries martiniquaises dans la matinée. Tour au musée de la Maison de la Canne dans l'après-midi, avant d'assister à un combat de coqs dans un pitt, du côté de Rivière-Pilote.

C'est déjà le départ. La plupart des vols sont fixés en fin d'après-midi. Certaines structures d'hébergement vous permettent de vous changer avant le départ à l'aéroport en mettant à votre disposition une bagagerie et des douches. C'est un avantage car vous pouvez ainsi profiter pleinement de vos derniers instants dans l'île, en prévoyant une petite baignade par exemple.

Arrivée directe à Ourguentch. Visite de Khiva.

Fin de la visite de Khiva et trajet jusqu'à Boukhara.

Un jour complet à la découverte des trésors de la cité marchande.

Route jusqu'à Samarkand et premiers pas dans la capitale timouride.

Visite des grands sites historiques de Samarkand.

Trajet jusqu'à Tachkent et vol pour Bichkek. Découverte de la capitale kirghize.

Excursion jusqu'à Tcholponata, sur la rive Nord du lac Issyk Kul et visite du champ de pétroglyphes.

Trajet jusqu'à Son Kul.

Randonnée à cheval et soirée repos sur les rives du lac.

Retour à Bichkek et vol pour Tachkent puis liaison avec la France.

Promenade dans Saint-Hélier, capitale de l'île. Visite du vieux centre-ville. Visite du musée maritime et d'Elizabeth Castle. C'est aussi l'occasion de faire du shopping, profitez-en, il n'y a pas de taxes ! Faites une pause dans l'un des nombreux pubs traditionnels de la ville et allez vous relaxer dans le charmant port de Saint-Aubin.

Avec les 154 km du réseau cyclable Green Lane, le choix des itinéraires est vaste. N'ayez pas peur de vous perdre car, comme les Jersiais le disent : « Tous les chemins mènent à la mer. » Cependant, pour les moins téméraires, l'office de tourisme propose des visites guidées. Les falaises escarpées du nord offrent une vue remarquable, alors qu'au sud les plages s'étendent à perte de vue.

Ce zoo accueille les espèces rares ou menacées (gorilles, chauves-souris, lémuriens…) plutôt que les classiques et spectaculaires résidents des parcs animaliers (lions, éléphants…). Après votre visite, allez parcourir à pied, inlassablement, l’immense plage de Saint-Ouen.